SETTER IA : AUTOMATISER LA PRISE DE RDV QUALIFIES FACILEMENT
Vous savez ce qui est plus frustrant que de rater le bus alors qu'on est à l'heure ?
C'est perdre des heures à prospecter dans le vide, sans décrocher le moindre rendez-vous qualifié.
Chez Whatalead, on a vécu ça. On a aussi survécu à quelques lundis matins documentés uniquement par des tableurs Excel et du café tiède. Résultat ? On a décidé de faire bouger les lignes en créant des solutions qui, franchement, auraient changé nos vies plus tôt… si on les avait eues.
Qui sommes-nous ?
Si vous ne nous connaissez pas encore, laissez-nous vous dire deux mots sur nous (promis, pas plus).
Nous, c’est Whatalead, une startup lyonnaise née en 2025 et guidée par une mission simple : révolutionner la prospection en France (et au-delà) grâce à la puissance d’un bon Chatbot IA.
Derrière les écrans : moi, Arthur Goudard, passionné de tech, ancien adepte des nuits blanches passées à coder des applications en Flutter ou à peaufiner du prompt engineering, épaulé par une équipe de baroudeurs du digital tout aussi cinglés que brillants.
Pourquoi ce blog et pourquoi maintenant ?
Parce que, comme vous peut-être, on s’est un jour demandé :
« Il fait quoi exactement ce fameux setter IA dont tout le monde parle ? »
Et surtout : est-ce qu’il peut me libérer de la prospection chronophage pour me concentrer enfin sur les vraies discussions ?
(Spoiler alert : la réponse est oui... mais pas sans quelques astuces que vous allez vouloir connaître.)
Dans cet article, on va plonger ensemble dans l’univers du setter IA, un métier mi-humain, mi-bot (et non, ce n’est pas un personnage Marvel), qui promet de vous faire gagner du temps, des leads, et très probablement, de la sérénité.
On va parler du rôle un peu hybride mais tellement pratique de ce super allié, des outils magiques qu’il sait manier (même si parfois, ils ont besoin d’un bon redémarrage), de pourquoi il fait autant de bruit dans le monde des indépendants... et surtout, comment vous lancer là-dedans sans vendre un rein (ni faire une crise de nerfs sous Zapier à 3h du mat, vécu personnellement lors d’un test d’intégration foireux).
Au menu de cet article :
Le rôle du setter ia : entre robot multitâche et humain plein d’intuition
Les outils magiques (et parfois capricieux) pour automatiser sa prospection
Pourquoi tout le monde parle du métier de setter ia (et s’il faut sauter dans le train)
Comment devenir setter ia freelance sans vendre un rein (ou perdre la tête)
Alors, prêt à découvrir comment réserver des rendez-vous sur pilote automatique (sans perdre votre humanité au passage) ? Allez, on vous embarque. Café à la main, stratégie en tête, et sourires en option…
01 | LE RÔLE DU SETTER IA : ENTRE ROBOT MULTITÂCHE ET HUMAIN PLEIN D’INTUITION
Imaginez un commercial qui ne se plaint jamais, ne boit pas tout le café de l’open space, et surtout, qui peut qualifier des prospects 24h/24, sans pause clope ni RTT. Non, ce n’est pas une légende urbaine du digital, c’est tout simplement le setter IA.
Le setter IA, c’est un peu comme le copain trop efficace qu’on rêverait d’avoir dans son équipe. Il est capable de gérer les échanges avec les prospects, d’identifier les signaux d’intérêt, de filtrer les curieux des réels décideurs, et de vous booker un rendez-vous pendant que vous êtes tranquillement en réunion stratégique (ou en train de mater des vidéos de chiens qui dansent, on ne juge pas).
Chez Whatalead, depuis notre création nous avons vu passer tous les scénarios, du « prospect fantôme » au « fausse piste en costard cravate ».
D’où l’idée de créer un setter IA bien entraîné pour éviter que votre agenda se transforme en cimetière de rendez-vous non qualifiés.
Mais attention :
Quand on dit setter IA, on ne parle pas d’un chatbot IA plat comme une limonade éventée. On parle d’un agent conversationnel boosté au prompt engineering, capable de comprendre les nuances d’un échange, de détecter le bon moment pour proposer un rendez-vous, et surtout, de savoir quand il faut transmettre la main à un vrai humain (parce que parfois, il faut le dire : rien ne vaut un bon vieux coup de fil).
Son rôle premier ? Qualifier en amont.
Cela veut dire que lorsqu’un lead pointe le bout de son nez – via votre site, une publicité, un webinaire ou même une landing page bien tournée – le setter IA va entamer la discussion. Avec des messages intelligents, adaptés au contexte, et surtout en conformité avec les attentes du visiteur.
Imaginez Clément, responsable marketing dans une PME à Lyon, qui visite votre site à 23h après une journée marathon. La plupart des entreprises lui proposent… absolument rien à cette heure. Avec un setter IA, il peut avoir une vraie conversation, poser ses questions, et même planifier un appel qualifié pour le lendemain matin.
Non seulement il est accompagné, mais il est aussi dirigé vers le bon format de rendez-vous, optimisé pour ses besoins.
Et la magie dans tout ça – ok, c’est de la data et du code, mais laissez-nous rêver un peu – c’est que tout ce processus est entièrement automatisé. Pas besoin de relancer 4 fois, de s’arracher les cheveux sur les disponibilités ou de creuser dans les conversations passées pour savoir si ce prospect avait vraiment un projet.
Le setter IA classe, trie, note, et met de l’ordre dans le chaos (ce que, avouons-le, même certains bureaux humains n’arrivent pas à faire).
Chez Whatalead, on s’est amusés à tester notre IA en lui donnant des conversations réelles, des intentions floues, des leads évasifs…
Résultat : non seulement elle a identifié les bons moments pour proposer un call, mais elle a aussi su éviter les faux positifs (ça, c’est quand votre prospect dit "je vais réfléchir", mais il pense "je vais ghoster votre équipe jusqu’à la fin des temps").
Et ne croyez pas que le setter IA remplace vos commerciaux.
Il les décharge des échanges peu productifs, ce qui leur permet de se concentrer sur ce qu’ils font de mieux : convaincre, conclure, closer.
En réalité, ce setter hybride, mi-robot mi-stratège, transforme chaque contact en opportunité solide. Plus besoin de fouiller dans vos CRM comme dans une brocante pour trouver le bon lead.
C’est simple : il automatise ce que vous détestiez faire (les relances, les tris), et vous laisse savourer ce qui compte vraiment (la vraie relation client).
Alors oui, le setter IA, c’est un peu comme le stagiaire modèle dont on rêvait chez Whatalead, mais en mieux : il ne pose pas de questions bizarres en réunion, et il n’oublie jamais d’envoyer un message de suivi.
Mais, tout ce petit monde high-tech ne fonctionne pas sans une bonne dose d’outils bien choisis.
Et là, attention, il y a à boire et à manger. Ce sera justement le sujet du prochain paragraphe…
02 | LES OUTILS MAGIQUES (ET PARFOIS CAPRICIEUX) POUR AUTOMATISER SA PROSPECTION
Nous y voilà. Vous souhaitez propulser votre prospection à la vitesse de la lumière (façon Star Wars, sans tomber dans un trou noir) grâce aux super-pouvoirs de l’automatisation ? Très bon choix !
Mais attention, comme aurait dit notre CEO Arthur Goudard lors de sa première tentative d'optimisation de campagne via un script maison en Python…
“Quand l’outil bug à minuit, tu découvres le vrai sens du mot solitude.”
Les outils d’automatisation, ce sont un peu les baguettes magiques du setter IA.
Bien utilisés, ils transforment vos efforts à la mano (vous savez, les copier-coller de messages LinkedIn à 22h) en une machine bien huilée qui trie, détecte, engage et même prend des rendez-vous qualifiés pendant que vous sirotez un café (ou un thé, on ne juge pas).
Mais voici une vérité universelle dans le monde de la tech :
Ce qui est magique a souvent sa part d’imprévisibilité.
L’automatisation, c’est génial… jusqu’à ce que Zapier décide de “sauter une étape par amour du suspense” ou qu’un champ Salesforce se remplisse avec le prénom du chien du prospect à la place de son nom.
Oui, c'est du vécu.
Alors, comment faire pour maîtriser ces outils qui peuvent transformer un jour de prospection classique en après-midi productive (et même un peu kiffante) ?
Voici quelques incontournables que vous devriez connaître si vous voulez entrer dans le game du setter IA digne de ce nom :
PhantomBuster :
Si la notion de “ghost prospecting” ne vous effraie pas, cet outil est une petite pépite pour scraper, automatiser vos messages LinkedIn, ou surveiller des listings à grande échelle.
Mais attention, il faut manier les paramètres avec soin… sauf si vous aimez envoyer 45 fois “Bonjour {{FirstName}}” à la même personne.Zapier / Make (ex Integromat) :
L’équivalent tech du couteau suisse. Vous pouvez créer des chaînes d’automatisation invisibles mais musclées.
Par contre, si vous êtes du genre à perdre votre mot de passe tous les deux jours, prenez des notes.
Tout peut très vite tourner au micmac si une connexion saute.Notion + Tally + Airtable :
Pour structurer votre base de prospects, collecter intelligemment les datas via des formulaires, ou qualifier vos leads sans finir chauve…
Cette trilogie a un succès fou chez nous chez Whatalead.
Notre CTO Jocelin Breil a même développé un système de scoring automatique qui a rendu jaloux un CRM bien connu (on ne cite pas de noms… mais il commence par S et finit par force).Des outils d’IA comme GPT en API :
Oui, l’IA peut enrichir une prise de contact, adapter un message ou analyser des réponses.
Chez nous, Arthur Goudard (notre développeur à l’ADN survolté par le prompt engineering) aime dire qu’un prompt bien conçu vaut trois commerciaux fatigués.
Rien que ça.
Mais la vraie magie derrière ces outils ?
C’est l’équilibre entre l’automatisation et l’humain.
Car ce que votre prospect veut, ce n’est pas juste un lien Calendly jeté en message privé.
Il veut se sentir compris, écouté… même quand c’est une machine qui parle.
C’est là qu’un bon setter IA entre en scène, capable de paramétrer des séquences intelligemment et d'intervenir au bon moment.
Un peu comme Batman avec Alfred : l’un automatise, l’autre veille sur la qualité.
Et puisqu’on parle d’intelligence humaine et d’intuition, vous êtes sûrement curieux de savoir pourquoi — soudainement — tout le monde parle du métier de setter IA comme s’il s’agissait du nouveau graal dans l’ère post-Chatbot IA.
Spoiler alert : ce n’est pas juste une hype passagère…
03 | POURQUOI TOUT LE MONDE PARLE DU MÉTIER DE SETTER IA (ET S’IL FAUT SAUTER DANS LE TRAIN)
Vous avez remarqué le buzz autour du terme setter IA ?
C’est un peu comme les AirPods à leur sortie : tout le monde en parle, peu savent vraiment à quoi ça sert, mais tout le monde en veut.
Et franchement, on comprend pourquoi.
Ce nouveau rôle hybride, qui mêle automatisation, qualification de leads et interactions humaines bien ficelées, est en train de redéfinir la manière dont les entreprises gèrent leur relation client.
Mais alors, pourquoi le monde entier s’emballe pour ce nouveau job ?
Est-ce juste une mode passagère ou une vraie révolution comme les croissants chauds un dimanche matin ?
Spoiler alert : ce n’est pas qu’un effet de mode.
Avant d’aller plus loin, petite anecdote :
Je suis Arthur Goudard, CEO de Whatalead.
À l’époque où je développais mon premier projet en C++, je ne me doutais pas que nos systèmes d’automatisation et d’intelligence artificielle permettraient un jour d’identifier les bons leads en quelques clics et sans passer la journée sur LinkedIn.
Et pourtant, c’est bien ce que fait le setter IA aujourd’hui.
Si ce rôle passionne autant, c’est surtout parce qu’il répond à un vrai besoin des entreprises :
Passer moins de temps en prospection infructueuse et davantage sur des leads qualifiés.
C’est un peu comme trier les cacahuètes pour ne garder que les pistaches – qui sont plus chères et bien meilleures (ne débattons pas là-dessus).
Concrètement, le setter IA agit tel un super assistant augmenté.
Il utilise des outils d’automatisation pour scanner, qualifier et engager les prospects, tout en gardant une touche humaine essentielle pour créer un lien.
Parce que oui, personne n’a envie de parler à un robot froid et distant qui balance “Bonjour [Prénom], avez-vous 5 minutes ?”.
Alors pourquoi cet engouement ?
Voici quelques raisons claires :
La pression commerciale est de plus en plus forte.
Les entreprises doivent faire mieux, plus vite, avec moins de ressources. Le setter IA permet justement d’attaquer plus large tout en gardant de la pertinence.Les prospects sont de plus en plus sollicités.
Fini les messages standards. Un setter IA bien configuré sait personnaliser les échanges et identifier les signaux faibles pour capter l’attention au bon moment.L’automatisation réduit les erreurs humaines.
Vous avez déjà envoyé deux fois le même message à un prospect à deux jours d’intervalle ? Nous aussi… Ça pique. Le setter IA peut vous éviter ce genre de bourdes.Le ROI est attractif.
En réduisant le temps de prospection, on maximise la conversion.
Et qui dit plus de leads qualifiés, dit plus de clients, plus de chiffre. CQFD.
Notre équipe chez Whatalead l’a bien compris.
Hugo, notre expert en stratégie, nous le répète une fois par jour (avant le café) :
“Si vos appels de prospection vous coûtent plus cher que ce qu’ils rapportent, alors quelque chose cloche”.
Il a raison, comme souvent… sauf lorsqu’il parle de sa passion pour les collections de mugs Star Wars.
Et ce qui rend ce métier encore plus fascinant, c’est qu’il est accessible.
Avec les bons outils, un soupçon de formation (et une pincée de logique), presque n’importe qui peut devenir setter IA, que vous soyez freelance dans votre chambre d’ado ou responsable commercial dans une startup ambitieuse.
Mais faut-il “sauter dans le train” ?
Disons-le clairement : s’il est encore à quai, il est peut-être temps de monter à bord.
Le marché en est à ses débuts, mais la demande explose.
Nous le constatons chaque semaine : les entreprises veulent du résultat, mais pas à n’importe quel prix.
Et c’est là que le setter IA fait toute la différence.
C’est l’alliance parfaite entre automatisation intelligente et intuition humaine.
Alors, si ce nouveau rôle vous fait de l'œil mais que le mot “freelance” vous fait transpirer des paumes, ne vous inquiétez pas.
Justement, dans le prochain chapitre, nous allons voir comment devenir setter IA freelance sans vendre un rein (ou perdre la tête).
04 | COMMENT DEVENIR SETTER IA FREELANCE SANS VENDRE UN REIN (OU PERDRE LA TÊTE)
Vous êtes-vous déjà demandé comment certaines personnes réussissent à générer des rendez-vous qualifiés pendant que vous, vous hésitez encore entre répondre à ce mail LinkedIn ou faire une pause café ?
Si oui, bienvenue dans l’univers du setter IA freelance.
Travailler avec l’IA, oui, mais sans transformer votre vie en épisode de Black Mirror, c’est possible – et promis, aucun rein ne sera vendu dans le processus.
Commençons par le commencement : c’est quoi un setter IA freelance ?
Un setter IA freelance, c’est ce curieux mélange entre un spécialiste de l’automatisation, un as de la communication (si possible avec un soupçon d’humour) et un pro de la qualification de leads.
En gros, c’est l’humain qui dompte l’intelligence artificielle pour convertir des prospects froids en rendez-vous chauds bouillants.
Grâce à des outils bien choisis et une méthode de travail efficace, le setter IA prépare le terrain pour les commerciaux, un peu comme un chef qui épluche les légumes pour que le cuistot n’ait plus qu’à les faire sauter… à la poêle, bien sûr.
Et là, vous vous dites sûrement :
« Ok, mais moi je pars de zéro. C’est foutu ? »
Pas du tout.
En fait, devenir setter IA freelance ne nécessite pas une carrière dans la data science ou un doctorat en stratégie de prospection.
Ce qu’il faut, c’est :
Un peu de curiosité (si vous avez déjà cliqué une fois sur « Paramètres avancés » dans votre boîte mail, c’est bon signe).
Une compréhension de base des outils d’automatisation comme les chatbots IA, les CRM, Zapier ou même Notion pour organiser tout ça.
Du bon sens commercial et de l’empathie.
Parce que savoir parler à un prospect sans lui donner envie de cliquer sur « signaler comme spam », c’est un art.
Chez Whatalead, je vous le dis franchement, on a vu des gens sans background tech réussir à créer de vraies machines de guerre en prospection.
Moi, Arthur Goudard, avant même de lancer notre premier chatbot, j’ai moi-même bidouillé des scripts en Python pour automatiser des trucs qui me saoulaient… genre relancer manuellement chaque lead deux jours après leur téléchargement d’un livre blanc.
(Spoiler : je l’ai oublié une fois sur deux, le script non.)
Le plus important, c’est de choisir un projet qui vous motive et de ne pas se précipiter.
Le piège quand on se lance comme freelance, c’est de vouloir TOUT faire. TOUT de suite.
Résultat : trois outils payants prélevés sur la carte bancaire et un syndrome de l’imposteur qui s’invite à chaque nouveau client.
Notre conseil ?
Commencez petit, mais commencez bien.
Par exemple, formez-vous sur les bases du marketing conversationnel, testez des outils simples et gratuits, et entraînez-vous à rédiger des séquences de messages.
L’IA, on ne la pilote pas à coup de baguette magique.
C’est comme apprendre à faire du vélo... sauf que là, les roues c’est GPT et l’équilibre, c’est votre stratégie.
Et surtout, ne restez pas seul dans votre coin.
Rejoindre une communauté, papoter sur des forums ou même échanger avec d’autres freelancers vous permettra d’éviter les erreurs de noobs (genre envoyer trente messages de relance… avec la mauvaise personnalisation. Véridique, j’ai connu un Thibaut qui s’est fait appeler Chloé pendant deux semaines par l’IA. La joie des bases de données mal nettoyées).
Enfin, question tarifs, pas besoin de demander un crédit à la banque.
Pour démarrer, il existe une tonne de ressources gratuites (y compris ce qu’on mettra ici-même, bientôt 👀), et chez Whatalead, nous croyons fermement que l'accès à la technologie doit être simple, progressif et sans pression fiscale hépatique.
Alors, prêt à prendre les commandes et à devenir votre propre boss du rendez-vous qualifié ?
Vous verrez, en tant que setter IA freelance, trouver vos clients peut devenir presqu’aussi stimulant que coder son propre assistant personnel (testé, approuvé… et un peu instable parfois, mais bon, on s'attache).
Et si vous avez encore des questions qui vous trottent dans la tête (ou qui squattent carrément votre to-do list), on vous a concocté une FAQ bien garnie dans la suite de cet article !
FAQ SUR SETTER IA : AUTOMATISER LA PRISE DE RDV QUALIFIÉS FACILEMENT
C’est quoi exactement un setter IA ?
Un setter IA, c’est un peu le Robin du commercial Batman.
C’est un agent conversationnel intelligent (non, il ne vous balance pas des blagues nulles, sauf si vous les programmez) qui qualifie vos prospects, engage la discussion et fixe des rendez-vous pendant que vous dormez, mangez ou matez des tutos sur YouTube – coucou à Théo Bayoux, notre expert marketing, qui sait ce que c’est.
En gros, il repère les visiteurs vraiment intéressés, trie les curieux du dimanche, et transmet la main au bon moment à un vrai humain.
Le tout, sans jamais se plaindre de son café froid.Le setter IA remplace-t-il un commercial ?
Spoiler : non, il ne vous pique pas votre job.
Il vient vous décharger de la partie chronophage, celle où vous avez l’impression de parler à un mur (sans émotions, ni budget).
Comme je le dis souvent, c’est comme un bon assistant : il trie, prépare le terrain, et vous laisse faire ce que vous faites de mieux : convaincre, conclure, closer.Comment fonctionne concrètement un setter IA ?
Imaginez qu’un prospect arrive sur votre site à 23h – appelons-le Clément – et au lieu de tomber sur un formulaire type “Laissez-nous un message”, il entame une vraie conversation.
Le setter IA, à travers une série de questions automatisées et boostées par de l’IA couplée au bon vieux bon sens commercial, qualifie le besoin, capte l’intention et propose un créneau pertinent pour un échange.
Résultat : Clément a son rendez-vous, et vous, un prospect sérieux dès le réveil.
(Bon, ok, après le café.)Est-ce que ça marche vraiment ? (ou c’est une promesse de plus sur LinkedIn)
Vous seriez surpris du nombre de leads non traités qui se baladent sur un site à des heures improbables.
Et sans setter IA, ils repartent comme ils sont venus.
Chez Whatalead, on a vu des taux de conversion tripler rien qu’en automatisant les échanges et en étant présents à tout moment (oui, même le dimanche soir pendant L’amour est dans le pré).Quels sont les meilleurs outils pour automatiser tout ça ?
Là, accrochez-vous : PhantomBuster, Zapier, Make, Notion, Tally, Airtable et bien sûr, l’incontournable GPT via API.
Nous, chez Whatalead, on a mixé tout ça dans un shaker digital pour créer des séquences fluides qui évitent les bugs #champduponey dans vos CRM (histoire vraie, demandez à Jocelin).Est-ce que c’est compliqué à mettre en place ?
Honnêtement ? Au début, un peu.
Mais avec une bonne stratégie, des outils bien paramétrés et quelques tests (et plantages, soyons vrais), ça devient une routine.
Notre équipe vous simplifie ce parcours – j’ai moi-même passé quelques nuits sur des intégrations qui tournaient mal à 3h du matin.
Depuis, on a documenté, automatisé et créé une méthode béton pour éviter ces insomnies aux autres.Je débute totalement, je peux quand même devenir setter IA freelance ?
Absolument ! Pas besoin d’être dev senior ou vendeur de tapis.
Vous avez juste besoin :D’un peu de curiosité,
D’une envie de mieux comprendre les outils digitaux,
Et d’un intérêt pour le contact humain (même si vous vous parlez à vous-même devant l’écran, on a tous commencé comme ça).
Pas à pas, vous pouvez apprendre à automatiser, à paramétrer de bons messages et à comprendre comment fonctionne la prospection d’aujourd’hui.
Quels résultats peut-on espérer avec un bon setter IA ?
Imaginez passer d’un agenda vide à 3 à 5 rendez-vous qualifiés par semaine (ou plus selon votre audience).
Ce n’est pas de la magie, c’est une meilleure gestion du timing, une conversation bien placée et un outil intelligent qui apprend, s’adapte et, parfois, vous étonne — comme ce jour où un de nos bots a sorti spontanément une blague sur les QR codes.
On ne lui en a pas voulu.Est-ce que ça coûte cher à mettre en place ?
Absolument pas.
Et encore moins quand on le fait bien !
Vous pouvez démarrer avec une stack gratuite ou très abordable.
Plus tard, vous investirez dans des outils mieux configurés ou des API puissantes, comme nous chez Whatalead.
Mais franchement, pour commencer, vous pouvez activer de la valeur avec quelques outils bien enchaînés et un bon prompt (clin d’œil à mon expertise perso en prompt engineering).Comment savoir si le setter IA est adapté à mon activité ?
Posez-vous ces 3 questions :Vos commerciaux passent plus de temps à trier les leads qu’à vendre ?
Vous avez du trafic sur votre site, mais peu de conversions ?
Vos outils actuels vous donnent envie de hurler dès qu’un lead tombe hors horaires ?
Si la réponse est “oui” à au moins une, alors vous avez probablement besoin d’un setter IA.
Et si vous hésitez encore, parlons-en ensemble.
Parce qu’on sait ce que c’est d’avoir un tableau Excel en guise de CRM... et on a juré de ne plus jamais revivre ça.
Voilà, on a fait le tour du setter IA comme si on démontait un moteur (mais sans se salir les mains, promis).
Du robot multitâche ultra réactif aux outils costauds mais parfois capricieux, en passant par le nouveau Graal du travail indépendant, on espère vous avoir éclairé (et peut-être fait sourire aussi — si ce n’est pas le cas, blamez mon humour de CEO, pas notre stack technique).
Je peux vous le dire : cette aventure, on l’a lancée parce que nous avons connu les galères.
Les rendez-vous oubliés, les leads qui disparaissent comme par magie (mais sans applaudissements), les CRM qui ressemblent à une brocante… Tout ça, on l’a vécu.
Et c’est justement ça qui a donné vie à Whatalead.
Si vous rêvez d’un quotidien avec moins de casse-tête et plus de conversions, le setter IA n’est pas juste une option : c’est VOTRE prochaine évidence.
Imaginez votre agenda se remplir pendant que vous bossez (ou, soyons honnêtes, pendant que vous cherchez le dernier gif drôle à envoyer à vos collègues).
Et si vous ne savez pas par où commencer, on vous accompagne pas à pas.
Pas besoin d’être ingénieur ou dev ninja — si moi j’ai pu coder un système automatique depuis ma cuisine (oui, vrai de vrai), vous pouvez, vous aussi, prendre en main votre prospection automatisée.
Alors... on vous garde une place dans le train du futur ? 🚆
(Celui qui arrive à l’heure, sans feuilles Excel volantes.)
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