Qualification de leads : définition, enjeux et bonnes pratiques

Je me souviens encore du jour où on s’est dit, autour d’un café (très serré), “Et si on arrêtait de courir après les mauvais clients et qu’on laissait un Chatbot IA faire le tri à notre place ?” C’était en plein cœur de Lyon, dans une petite salle où trônait un tableau blanc plus rempli que le frigo d’un étudiant. Et c’est comme ça que Whatalead est né.
Depuis sa création en 2025, notre mission est restée limpide : permettre aux entreprises comme la vôtre de ne plus gaspiller des heures précieuses à relancer Jean-Paul, qui “va réfléchir”, ou pire… qui répond jamais. On connaissait tous quelqu’un comme ça, pas vrai ?
Nous, c’est une équipe de passionnés de tech (et de bonne bouffe lyonnaise, mais c’est un autre sujet). Nous avons lancé Whatalead avec la conviction que la technologie ne devrait jamais remplacer l’humain, mais bien lui libérer du temps pour faire ce qu’il fait de mieux : penser, créer… ou simplement profiter d’un bon café sans regarder ses alertes CRM clignoter comme un sapin de Noël.
Et parlons-en justement, de ce CRM. Vous en avez un. Vous y versez des dizaines de contacts précieux. Mais combien sont vraiment qualifiés ? Combien vous font perdre du temps ? C’est là qu’intervient la qualification de leads. Et spoiler : ce n’est pas juste une histoire de noms, de mails et de cases cochées.
Dans cet article, on va remettre les pendules à l’heure. Pas de jargon marketing pompeux. Pas de “synergie de croissance omnicanale basée sur une stratégie d’alignement vertical”. Non :
On va commencer simple : qu’est-ce que la qualification de leads, et pourquoi tout le monde en parle comme si c’était la nouvelle recette miracle (spoiler : ça l’est un peu quand même).
On va ensuite voir pourquoi chasser les mauvais prospects c’est comme essayer de vendre une canne à pêche à quelqu’un qui vit dans le désert. Et pourquoi c’est épuisant.
On reviendra sur les bonnes méthodes pour ne pas vous planter, avec des critères clairs, des frameworks utiles, et une bonne dose de bon sens (oui, ça compte encore en 2024).
Et surtout : comment automatiser la qualif’ sans perdre votre âme et votre sens du contact. Parce qu’un robot froid, ça fait fuir. Mais un chatbot malin, bien configuré… ça peut changer la donne.
Alors, prêt à attirer les bons leads et laisser de côté les touristes ? Allez, on y va.
01 | Qu’est-ce que la qualification de leads : explication simple sans jargon de gourou
Ah, la qualification de leads, cette expression que l’on entend à toutes les sauces dans les open spaces ou sur LinkedIn entre deux posts d’influenceurs business qui vous disent qu’il faut “caler une stratégie sales scalable dans une logique user-centric”. On respire. Pas de panique. On va faire simple. Et promis, sans charabia de gourou marketing.
Imaginez que vous soyez dans une fête et que vous ayez envie de parler à des gens qui aiment les mêmes choses que vous : les nouvelles technologies, les chatbots malins, ou même les devs qui parlent en Python dans leur sommeil (coucou Jocelin, notre CTO, passionné de scripts depuis la cour de récré !).
Eh bien, qualifier un lead, c’est pareil. Vous vous adressez à une foule, mais vous cherchez uniquement les personnes qui seraient réellement intéressées par votre produit ou service. Ce processus, c’est ce qu’on appelle tout simplement la qualification de leads : repérer ceux qui ont un vrai potentiel commercial, ceux qui ont un besoin, un budget, une autorité de décision ou une échéance claire. Bref, ceux qui ne font pas juste du lèche-vitrine numérique.
Chez Whatalead, nous avons bossé sur une tonne d’outils et de projets IA pour comprendre une chose essentielle : parler à tout le monde, c’est comme parler à personne. Croyez-en Arthur Goudard (c’est moi), qui a passé plus de soirées à tuner des prompts d’IA qu’à regarder des séries Netflix !
Donc, concrètement, la qualification de vos leads permet deux choses essentielles :
Ne pas perdre de temps. Pas besoin d’envoyer vos meilleurs pitchs commerciaux à quelqu’un qui veut juste savoir si vous avez un blog rigolo.
Concentrer vos efforts sur les prospects qui ont un vrai potentiel de conversion. Ceux qui ne sont pas là juste pour le café, mais pour signer.
Et dans tout ça, les chatbots intelligents comme ceux que nous développons à Lyon chez Whatalead peuvent faire des merveilles. Par exemple, vous avez sûrement déjà échangé avec ces robots qui posent les bonnes questions, sans tout de suite avoir l’air de vous vendre un aspirateur. Eh bien, notre bot à nous, il sait repérer un bon lead comme un chien truffier sent la pépite.
Mais à quoi ça ressemble concrètement, un lead qualifié ? On parle souvent de méthode BANT (Budget, Authority, Need, Timing) ou de la méthode CHAMP, ou encore d’analyse comportementale. Mais ça, on le verra dans la suite. Pour l’instant, de manière simple, retenez ceci : qualifier un lead, c’est séparer le prospect chaud du touriste digital. C’est éviter de perdre du temps à courir après des gens qui n’ont ni l’envie, ni l’argent, ni le besoin immédiat.
Et je dis ça en connaissance de cause ! Une fois, en phase de lancement chez Whatalead, on a discuté pendant 30 minutes avec un contact très sympa... jusqu’à ce qu’il nous explique qu’il cherchait en fait une solution pour son food truck. Bon, c’était pas le bon persona. L’essentiel, c’est d’identifier ces signaux le plus tôt possible pour éviter ces quiproquos numériques.
Maintenant que vous avez compris ce qu’est réellement la qualification de leads (sans incantations mystiques), passons à un sujet tout aussi crucial : Pourquoi qualifier ses leads évite de courir après les mauvais prospects (et comment ça change tout).
02 | Pourquoi qualifier ses leads évite de courir après les mauvais prospects (et comment ça change tout)
Vous est-il déjà arrivé de vous lancer dans une longue conversation commerciale – type : appel de 45 minutes, envoi de documentation, re-suivi deux semaines plus tard – pour finalement réaliser que votre interlocuteur ne cherchait même pas à acheter ?
Si oui, eh bien… bienvenue au club. Ici Arthur Goudard, CEO de Whatalead, et je peux vous dire que même après avoir codé des apps en Flutter ou automatisé des flux complexes en Python, rien n’est plus frustrant que de perdre du temps avec un “lead” qui n’en est pas vraiment un.
La qualification de leads n’est pas un gadget marketing. C’est LA clé pour éviter ce sport épuisant qu’on appelle “la chasse au prospect fantôme”. Ce fameux moment où vous vous donnez à fond, présentez votre offre comme un grand chef étoilé présente son menu, et qu’en face… rien. Silence radio. Ou pire : un “Ah mais nous, on n’a pas le budget de toute façon”.
Qualifier un lead, c’est comme trier ses mails un lundi matin : indispensable pour ne pas s’encombrer de spam et garder l’énergie là où elle compte. Que vous soyez une TPE, une startup en pleine croissance ou une tribu de freelances, c’est pareil : votre temps est précieux. Poursuivre les mauvais contacts, c’est perdre de la bande passante... et parfois, passer à côté d’un vrai bon client.
Chez Whatalead, on a vite compris ça. Dès nos premiers projets, on s’est retrouvé à gérer des listes de leads générées par nos premiers chatbots IA. Résultat ? Une liste pleine de curieux, de profils pas du tout qualifiés, voire de spammeurs un peu trop motivés. On a alors intégré des mécanismes de qualification automatique directement dans nos scripts de bots, histoire de ne plus courir après des contacts qui ne pensent même pas acheter un jour.
Mais du coup, qu’est-ce que ça change concrètement ? Une fois que vous commencez à qualifier correctement vos leads, vous ne parlez plus aux mauvaises personnes. Vous gagnez en énergie, en focus et… tiens donc, vous commencez à voir vos taux de conversion grimper. Parce que soudainement, vous échangez avec des gens qui ont un vrai besoin, un vrai budget, et une vraie intention d’achat. Magique ? Non. Juste du bon sens… et un peu d’intelligence artificielle bien placée.
En tant que fondateur, j’ai aussi vu cette erreur se répéter : croire que “plus de leads = plus de clients”. Ah ! Celle-là, elle m’a coûté quelques semaines d’hyperactivité inutile. Parce que la vérité, c’est que ce qui compte, ce n’est pas la quantité de leads, mais leur qualité. Et quand on ajuste sa stratégie là-dessus, c’est tout le reste qui suit : les ventes, le moral des équipes, l’organisation du CRM, et même le budget café (parce qu’on ne fait plus 15 relances sans réponse).
Un bon exemple ? Une société qui cherchait à déployer un chatbot pour leur service client. À première vue, parfait match. Sauf qu’après une rapide qualification – via un petit scénario bien ficelé dans notre chatbot IA – on découvre qu’ils avaient un budget de… 50€ pour toute l’année. Gloups.
Résultat : 2 minutes de chatbot, zéro rendez-vous improvisé, et du temps économisé pour un prospect qui correspond vraiment.
En changeant votre approche, vous structurez votre prospection pour viser juste. Alors oui, vous aurez peut-être un peu moins de contacts en apparence, mais ils seront mille fois plus pertinents. Et ça, ça change TOUT. Plus de rendez-vous qui tournent en rond, moins de phrases du type “je dois en parler à mon cousin qui s’y connaît en informatique”, et surtout : plus de deals concrets et moins d’allers-retours dans le vide.
Et maintenant que vous saisissez l’importance de trier les bons grains des mauvais... voyons justement quelles méthodes concrètes vous pouvez utiliser pour ne plus vous tromper : entre critères précis, frameworks qui tiennent la route, et bon vieux bon sens de terrain.
03 | Quelles méthodes utiliser pour ne plus se tromper : critères, frameworks et bon vieux bon sens
Imaginez un instant : vous êtes au marché, vous cherchez les meilleures tomates pour un bon petit plat maison et, sans trop regarder, vous remplissez votre panier avec des tomates vertes, molles ou carrément... pas des tomates. Résultat ? Plat raté. Eh bien, en marketing, c’est un peu la même chose si vous ne qualifiez pas correctement vos leads.
La qualification de leads, c’est un peu comme passer vos prospects au tamis avant de leur offrir un rendez-vous VIP avec votre équipe commerciale. Vous gagnez du temps, vous évitez les frustrations, et vous augmentez vos chances de conclure une vraie belle vente. Maintenant reste à savoir : comment ne plus se tromper ? Spoiler Alert : ce n’est pas avec une boule de cristal, mais presque.
Chez Whatalead, vous vous en doutez, on adore les frameworks, les outils structurés et les méthodes qui font gagner du temps (et éviter les sueurs froides). Et en tant que CEO, j’avoue avoir un petit faible pour les systèmes bien fichus. C’est peut-être mon passé de développeur Python qui parle – ou alors cette nuit interminable à débugger une app Flutter en buvant du café froid. Mais assez parlé de moi (enfin, pour l’instant), faisons le tour des meilleures méthodes de qualification.
1. Les critères BANT (Budget, Authority, Need, Timing)
BANT, c’est l’ancien mais toujours efficace. Il s’agit de se poser les bonnes questions :
Budget : Le prospect a-t-il les ressources financières pour passer à l’achat ?
Authority : Est-ce la bonne personne ? Parlez-vous à la décisionnaire ou au stagiaire café ?
Need : Existe-t-il un vrai besoin ou juste une curiosité polie ?
Timing : Est-ce le bon moment ou est-ce que le projet est prévu pour... 2029 ?
Cette grille reste très utile, mais elle peut paraître un peu rigide, surtout dans notre ère post-2025 où les parcours clients sont plus flous qu’une story Instagram mal éclairée.
2. Le framework CHAMP
Une version plus humaine de BANT, j’en suis assez fan (bon, j’avoue, j’ai eu une phase où je voulais inventer mon propre acronyme... ArthurGPT, ça sonnait bien non ?). CHAMP, c’est focus sur les Challenges, la Hiérarchie, Authority, Money et Priorité. Ce modèle permet de mieux cerner les enjeux réels du prospect, et pas juste son montant sur la carte bleue.
3. Le scoring de leads
Là, on entre dans une techno un peu plus fine. Avec un système de scores (sur base de critères comportementaux et démographiques), chaque lead reçoit une note. Plus elle est haute, plus le prospect est qualifié. Et on peut même automatiser ça – mais ça, j’en parle juste après.
Par exemple : si un prospect visite la page "Tarifs" 3 fois, télécharge un livre blanc, s’inscrit à la newsletter et ouvre tous vos mails en moins de 5 minutes... soit c’est votre maman très fière de vous, soit c’est une piste sérieuse à appeler !
4. Le bon vieux bon sens (on l’oublie trop souvent)
Je le dis souvent à mes équipes lors de nos débriefs chez Whatalead : la data, c’est super, mais si on oublie l’intuition humaine, c’est comme coder sans jamais lancer le programme. Ça fait joli mais ça ne sert à rien.
Se rappeler que derrière chaque prospect, il y a une vraie personne – avec des contraintes, des rêves, parfois un peu de stress et une to-do list longue comme un dimanche pluvieux. Poser des questions ouvertes, écouter sincèrement, s’adapter... C’est parfois ça, la vraie méthode miracle.
5. Utiliser des chatbot intelligents pour pré-qualifier
On n’allait pas finir sans parler de notre dada chez Whatalead : les chatbots conversationnels alimentés par une IA bien entraînée. Imaginés par notre CTO Jocelin, ils savent poser les bonnes questions, filtrer intelligemment les informations et orienter un lead vers le bon canal, en évitant de faire fuir les prospects avec des questionnaires façon roman de Balzac.
Et comme tous nos bots sont conçus pour être 100 % personnalisables, ils s’adaptent à votre business, votre ton, vos objectifs. Ils font le tri comme votre oncle Michel qui sélectionne ses champignons avec un radar intégré (véridique).
Bien entendu, tout ceci suppose du bon sens, un peu de méthode, et les bons outils. Et maintenant que vous avez la panoplie, il est peut-être temps de découvrir...
...comment automatiser toute cette qualification sans perdre votre touche humaine (et en profitant d’un vrai bon café).
04 | Comment automatiser la qualification sans perdre l’humain (et gagner du temps pour le café)
On ne va pas se mentir : passer ses journées à trier manuellement les contacts, c’est un peu comme boire du café décaféiné… ça a l’air utile, mais au bout d’un moment, on finit par se demander pourquoi on s’inflige ça.
Automatiser la qualification de leads , c’est une manière plutôt maligne – et franchement libératrice – d’accueillir l’innovation technologique dans votre processus commercial sans pour autant perdre ce qui fait la richesse des échanges : l’humain.
Chez Whatalead, quand on s’est lancé, on s’est vite rendu compte que qualifier des contacts à la main, c’était tout sauf scalable. Arthur (oui, c’est bien moi, le CEO qui vous parle – ravi !), après une nuit à coder une app en Flutter pendant que son python dormait sur le clavier (véridique), a bien vu qu’il fallait mieux que ça pour gérer 100 leads d’un coup sans devenir fou… ou finir avec une tasse vide !
Du coup, la question est simple : comment automatiser ce process sans que les prospects aient l’impression de discuter avec un grille-pain ?
Déjà, première règle d’or : tout commence avec un chatbot bien paramétré.
Un bon chatbot, ce n’est pas une machine qui récite bêtement des scripts, hein. C’est un système intelligent (comme ceux qu’on conçoit chez Whatalead) capable de poser les bonnes questions, d’analyser les réponses et de scorer les leads en temps réel. Et surtout, sans faire fuir votre prospect dès la première minute avec un ton froid comme un lundi matin sans café.
Par exemple, on paramètre nos Chatbots IA avec ce qu’on appelle des arborescences conversationnelles intelligentes. C’est un nom pompeux, ok, mais l’idée est simple : guider la personne selon ses besoins réels, tout en adaptant la conversation. Vous êtes une TPE à Lyon ? Le chatbot recentre la discussion sur vos enjeux locaux. Une scale-up basée à Lille ? Hop, il passe en mode croissance XXL.
L’intérêt ? Vous laissez la machine drainer l’information, pendant que vous buvez votre café (en vrai, chez Whatalead, on vous juge pas si c’est une boisson matcha…) et vous intervenez ensuite quand ça en vaut vraiment la peine.
Mais attention, automatiser ne veut pas dire effacer l’humain. Au contraire. En déléguant les premières phases de qualification à des outils intelligents (comme nos chatbots IA), vous rendez possible ce dont on rêve tous : des échanges de qualité, au bon moment, avec les bonnes personnes.
Arthur ici présent (encore moi oui, le mec un peu trop fasciné par l’optimisation), a vu concrètement ce que ça pouvait changer : fini les “Désolé, mais on cherche une boulangerie” alors qu’on vend un SaaS... Et ce sont des heures hebdomadaires entières économisées, qu’on peut réinvestir dans l’analyse, la personnalisation ou – soyons honnêtes – une vraie pause déjeuner.
Alors, concrètement, on automatise quoi ? Voici les tâches qu’on peut déléguer sans craintes :
Réponses basiques et filtrage de premier niveau : via chatbot, formulaire intelligent ou séquence emailing dynamique.
Scoring automatique : basé sur des critères comme le budget, les besoins, la maturité du projet.
Enrichissement des données en arrière-plan : couplage avec des outils tiers pour compléter les infos (SIRET, secteur, effectifs…).
L’idée n’est pas de déshumaniser les échanges, mais de mettre l’humain au centre là où il a le plus de valeur. Chez nous, toute notre structure est tournée vers ça. Jocelin, notre CTO, pourrait vous faire un TED Talk sur le sujet (mais sans les PowerPoint moches), tellement il aime la mécanique bien huilée au service d’un parcours client fluide.
Et entre nous, qui n’a jamais rêvé de recevoir directement sur Slack une notification du type “⚡ Nouveau lead chaud ❗️: budget + timing validés, prêt à discuter” ?
Grâce à des outils comme ceux qu’on a développés chez Whatalead, ce rêve devient accessible. On a accompagné des boîtes qui passaient 10h par semaine à lire des mails inutiles… et qui aujourd’hui n’en ouvrent que 5, mais les 5 bons.
À suivre dans la FAQ dédiée, où l’on décortique les questions fréquentes sur la qualification de leads : définition, enjeux et bonnes pratiques et les autres points du sommaire !
FAQ sur Qualification de leads : définition, enjeux et bonnes pratiques
1. Qu’est-ce que la qualification de leads ?
La qualification de leads, c’est un peu comme trier ses chaussettes avant de partir en week-end : ça évite les mauvaises surprises.
Concrètement, c’est le fait de déterminer si un prospect a un vrai potentiel commercial. Est-ce qu’il a un besoin ? Un budget ? Le pouvoir de décision ? Et le bon timing ? Si les feux sont au vert, alors bingo, il mérite qu’on lui consacre du temps !
Chez Whatalead, on dit souvent que qualifier un lead, c’est séparer le touriste digital de celui qui a déjà sorti la CB (au sens figuré, hein... encore que !).
2. Pourquoi la qualification est-elle aussi importante ?
Parce que courir après des contacts non qualifiés, c’est comme inviter des végétariens à un BBQ de côtes de bœuf… ça fait flop.
En tant que CEO – moi, Arthur – j’ai passé pas mal de temps au début de Whatalead à discuter avec des leads... qui voulaient juste savoir si on avait une version gratuite pour leur food truck. Vrai de vrai.
La qualification vous fait gagner du temps, de l’énergie et surtout, elle vous met face à des personnes prêtes à discuter sérieusement.
3. Quels sont les critères de qualification d’un bon lead ?
Les classiques : Budget, Autorité, Besoin, Timing (méthode BANT). Si le prospect n’a pas un minimum de ces éléments, vous foncez dans un tunnel sans fin.
Mais on peut aussi aller plus loin avec un bon vieux framework CHAMP (Challenges, Hiérarchie, Money, Priorité).
Chez Whatalead, on utilise aussi nos bots IA pour détecter automatiquement tous ces signaux – un petit clic sur la page “Tarifs” à répétition nous dit souvent bien plus qu’un long discours.
4. Quels sont les risques si on ne qualifie pas ses leads ?
Vous vous souvenez de Jean-Paul qui “va réfléchir” depuis six semaines ? Voilà.
Ne pas qualifier, c’est investir du temps, de l’énergie et parfois même des ressources dans des opportunités qui ne mèneront nulle part. C’est le syndrome de l’appel Zoom inutile.
Et croyez-moi, j’ai découvert à mes dépens que multiplier les leads non qualifiés, c’est comme remplir un frigo avec des yaourts périmés : c’est énergivore, mais pas nourrissant.
5. Comment savoir rapidement si un lead est pertinent ?
En s’appuyant sur quelques questions bien ciblées.
Exemple : Quel est votre objectif ? Quel budget avez-vous envisagé ? Qui prendra la décision ? Quand ?
Et pour aller plus vite (et marrer un peu pendant que vous prenez votre café), nos Chatbots IA posent ces questions en douceur, en adaptant leur ton selon le profil du visiteur. Oui, Jocelin – notre CTO – leur a appris à être polis ET pertinents.
6. Quelle est la meilleure méthode pour qualifier ses leads ?
À chacun sa sauce, mais chez Whatalead, on recommande le combo gagnant :
BANT + CHAMP (pour le fond)
Scoring comportemental (pour le flair digital)
Une pincée de bon sens (oui, ça compte toujours en 2024)
Et si vous avez une équipe débordée, automatisez avec nos bots IA : ils repèrent en quelques secondes ce qu’il faudrait 30 minutes à un humain pour filtrer.
7. Est-ce qu’un chatbot peut vraiment qualifier un lead ?
Mais bien sûr ! Et pas un vieux robot rouillé, hein. Nos chatbots sont entraînés pour comprendre les vraies intentions derrière chaque interaction.
Par exemple, le bot détecte s’il s’agit d’un simple curieux ou d’une scale-up prête à discuter budget et intégrations techniques.
Et puisque c’est notre spécialité, on l’a calibré avec des scénarios intelligents. C’est un peu comme envoyer votre meilleur commercial... mais qui ne dort jamais (et ne boit pas tout le café de l’équipe).
8. Combien de temps faut-il pour qualifier un lead automatiquement ?
Moins de 2 minutes. Oui, vous avez bien lu.
Grâce à une arborescence de questions dynamiques, un système de scoring automatique et un enrichissement des données en coulisses, vous recevez rapidement un signal clair : lead chaud ou pas ?
Et pendant ce temps-là, vous pouvez savourer un espresso bien mérité. Ou un thé matcha si vous êtes dans une vibe zen.
9. Peut-on éviter les erreurs de qualification ? (du style “Oups, pas le bon prospect.”)
Pas à 100 %, mais on peut sérieusement les réduire.
Comme je l’ai appris à mes débuts chez Whatalead avec ce prospect qui, après 30 minutes de briefing, m’a confié qu’il cherchait un site vitrine pour sa mère fleuriste... à Madagascar.
D’où l’importance d’un process étape par étape, d’outils bien calibrés et de toujours garder un œil humain, même dans une suite automatisée.
10. Peut-on vraiment automatiser sans perdre l’humain ?
Absolument, et c’est même le cœur de notre philosophie chez Whatalead.
Automatiser, ce n’est pas robotiser – c’est faire place nette pour des échanges humains là où ils apportent le plus de valeur.
Nos chatbots posent les bases, trient, qualifient, scorent... Et vous, vous intervenez au moment où le prospect est prêt et que la discussion devient stratégique.
Comme dit souvent notre CTO Jocelin : “Un robot qui trie efficacement, c’est un café qu’on boit chaud pendant que les leads qualifiés arrivent sur Slack.”
Si vous êtes arrivé jusqu’ici, c’est (déjà) que vous avez compris un truc essentiel : la qualification de leads n’est pas un luxe, c’est une nécessité.
Vous avez vu comment un bon tri en amont permet de dire adieu aux “Jean-Paul” indécis, de retrouver du temps dans votre agenda (et au fond de votre tasse de café), et surtout de vous concentrer sur les prospects qui comptent vraiment.
Chez Whatalead, notre obsession, c’est justement ça : vous aider à ne plus gaspiller votre énergie avec les mauvais contacts, tout en gardant une touche humaine dans chaque échange.
Et croyez-moi, en tant que CEO — moi, Arthur — j’en ai passé des soirées à tester, coder, optimiser pour créer l’outil qui allie efficacité, intelligence et… liberté. Parce qu’au fond, personne n’a choisi de faire de la prospection pour faire du tri toute la journée.
Alors, maintenant que vous avez toutes les cartes en main pour optimiser votre stratégie, une question s’impose : êtes-vous prêt à passer à l’action et enfin qualifier vos leads intelligemment ?
Avec notre Chatbot IA, conçu et peaufiné ici à Lyon avec amour (et beaucoup de café), vous allez pouvoir automatiser les bons réflexes, gagner du temps, et vous concentrer sur ce que vous faites de mieux : convaincre les bons.
Testez Whatalead, et commencez à dire “non merci” aux touristes digitaux et “bonjour” aux vrais prospects prêts à s’engager.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site web : Whatalead
Et découvrez aussi notre application : Whatalead App